Un Paris so cute que découvre Emily, une jeune Américaine au charment accent, qui atterrit dans une agence de communication parisienne, proche du Palais Royal.
Un Paris fashion. Des Parisiens aux tenues vives et colorées. Improbables. Des femmes apprêtées. Maquillées jusqu’au bout des ongles. Pomponnées. Somptueusement bien coiffées. Dignes des podiums des défilés de luxe. Des Parisiens qui travaillent peu, qui ne commencent jamais avant 11 heures et prennent 3 heures de pause à l’heure du déjeuner.
Un Paris propre comme un sous neuf. Le cimetière du Père Lachaise. Les quais de Seine. Les passages couverts. La Place de la Concorde. La Tour Eiffel. Des vues plongeantes sur les toits parisiens. La Samaritaine. La capitale est sans voiture, ou presque. Ni bouchon. Ni klaxon. Un Paris comme on en rêve.
Un Paris cliché. Des scènes de la vie quotidienne. L’expresso et les croissants pris aux terrasses ensoleillées. La gouaille de la boulangère et ses baguettes de pain frais. Les restaurateurs, beaux et aimables. Des badauds, béret vissé sur la tête, camembert glissé dans un sac à main, ou une cigarettes au bec, en veux-tu, en voilà.
Un Paris fantaisiste. Un diner privé organisé sur la place de L’estrapade, au cœur du quartier Latin. Comme si c’était monnaie courante. Un train de nuit Paris- Saint Tropez tel le transsibérien. Des artistes de rue tirés à quatre épingle sous les hourras de badauds subjugués.
Un Paris by day by night. Qui fait sourire. Fait rêver. Une comédie agréable. Légère, drôle, pétillante.
À regarder au 10ème degré.